La nécessité de corriger les pommettes
Pour comprendre le besoin de corriger les pommettes, il faut avant tout rappeler qu’elles sont formées par une structure osseuse jouant un rôle fondamental dans l’harmonie du visage. Elles tiennent aussi un rôle dans le maintien des muscles et la peau du visage. De ce fait, elles empêchent l’amollissement de la peau et l’apparition des rides prématurées. Pour permettre aux pommettes d’assurer leur rôle aussi longtemps que possible, il est indispensable de procéder à l’intervention chirurgicale de cette partie du visage. Les nouvelles techniques chirurgicales mises en place dernièrement rendent possible la correction de leur aspect. Selon le choix de chacun, l’intervention prend la forme soit de la réduction, soit de l’augmentation du volume des pommettes. L’augmentation se fait par la mise en place d’implants ou de prothèse faciales. Pour harmoniser parfaitement notre visage, la chirurgie des pommettes doit souvent être associée à d’autres interventions comme la rhinoplastie, la chirurgie du menton ou le lifting.
Comment se déroule l’intervention ?
Une intervention chirurgicale des pommettes est loin d’être facile. En général, elle se déroule sur une durée moyenne d’une heure. En fonction du nombre et de l’importance des interventions associées, la séance peut parfois aller au-delà de cette durée normale. L’intervention est toujours précédée d’un bilan opératoire destiné à déterminer les motivations du patient et le résultat morphologique. Un examen médical est aussi requis pour évaluer le risque, l’importance de la correction à réaliser et la taille de l’implant. En choisissant le silicone rigide, l’opération consiste à introduire les implants dans les pommettes par l’intérieur de la bouche à travers des petites incisions. La suture se réalise ensuite avec une matière qui doit être absorbée naturellement par le corps. En général, l’intervention se réalise sous anesthésie locale plus sédation. D’une durée de deux semaines, la récupération est assez rapide et moins douloureuse. On fait surtout attention aux mouvements de la bouche et à l’alimentation.