L’injection d’acide hyaluronique : pour une bonne stimulation du point G

Le point G est considéré comme un point déclencheur de l’orgasme chez la femme. La médecine esthétique vient àla rescousse des femmes souffrant de manque d’orgasme vaginal par injection d’acide hyaluronique sur le fameux point G.

L’injection d’acide hyaluronique: une technique classique en médecine esthétique

L’acide hyaluronique est un produit généralement utilisé par les chirurgiens esthétiques pour combattre le vieillissement et l’affaissement cutané. L’injection du produit est généralement prescrite pour combattre les imperfections épidermiques telles que les rides, les pommettes, les cernes et les lèvres trop fines.

L’acide hyaluronique utilisé par les chirurgiens esthétiques est un acide synthétique totalement compatible avec les protéines hyaluroniques du corps. Dans le cas d’une injection médicale d’acide hyaluronique, il faut savoir que le produit s’adapte très bien àl’organisme est les rejets sont quasiment nuls. Les produits fréquemment utilisés sont la macrolane, le teosyal ou le Soft Line Max.

L’injection d’acide hyaluronique: une technique pour gonfler et sensibiliser le point G

Le point G ou point de Gräfenberg est une zone érogène de la femme située dans la paroi supérieure de l’entrée du vagin. Il est parfois assimilé àla prostate chez l’homme. Le point G est considéré comme le point déclencheur de l’orgasme vaginal. Dans la mesure où les femmes ont du mal àavoir un orgasme vaginal àpartir du point G, il est nécessaire de recourir àune injection d’acide hyaluronique.

L’acide hyaluronique permet d’augmenter le volume du point G et procure plus de sensibilité àcette zone. L’intervention dure 20 minutes environ et se fait par voie vaginale. La technique se fait en ambulatoire sous anesthésie locale. Les résultats sont ressentis àpartir du troisième mois après l’intervention. L’individu peut reprendre une activité sexuelle normale cinq jours après l’injection. Cette technique est quasiment sans risque mais un suivi médical postopératoire se révèle quand-même nécessaire.

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