Le Macrolane dans le traitement des fesses plates
La pose de prothèses est la méthode la plus connue par le plus grand nombre pour l’augmentation du volume des fesses un peu plates. Désormais, il est tout à fait possible de recourir à l’injection de Macrolane pour corriger l’aspect inesthétique de vos fesses. En effet, le Macrolane n’est pas seulement valable pour le traitement des rides ou l’augmentation du volume des seins. Si vous n’êtes pas enthousiaste à l’idée de subir une intervention chirurgicale pour la prise en main de vos fesses, optez pour l’injection de Macrolane.
Le Macrolane est un gel à base d’acide hyaluronique stabilisé mis au point par la société de biotechnologie suédoise Q-Med en 2008. Le produit est 100% compatible avec l’organisme humain car tous ses ingrédients sont d’origine non animale. Il faut savoir que l’acide hyaluronique est une substance naturellement présente dans le corps. Une fois injecté, le Macrolane favorise sa production et son maintien au niveau de la zone traité d’où le regain significatif de volume.
Augmentation du volume des fesses par injection de MacrolaneÂ: déroulement d’une séance
Une séance d’injection de Macrolane se déroule en ambulatoire sous anesthésie locale. Le praticien réalise une toute petite incision sur le pli fessier. Il injecte ensuite le produit à l’aide d’une seringue avec une fine aiguille. La quantité du produit injecté varie suivant le cas de chaque patient. Il arrive même que le praticien injecte 200cc de Macrolane dans chaque fesse pour les patients ayant des fesses trop petites. L’intervention dure 1h 30 minutes au maximum.
Des ecchymoses peuvent apparaître après l’intervention. Toutefois, elles finissent par disparaître en l’espace de deux ou trois jours. Les résultats sont quasiment instantanés et dure 24 mois environ. Evitez quand même de vous asseoir trop souvent durant la toute première semaine après l’intervention. L’injection de Macrolane est contre indiquée en cas de maladie auto-immune, infection cutanée sévère, grossesse et allaitement.
